Calligraphie
Bonjour tout le monde
Il y a quelques jours, j'ai participé à un atelier de calligraphie.
Nous avons appris à utiliser un Calam, pour faire de jolies écritures
On devait tremper le Calam dans un encrier. Comme sur la photo.
On s'appliquait à faire des lignes d'écriture comme à l'école
Le calame:
C’est l’outil essentiel de tout calligraphe, c’est un roseau que l’on taille en biseau selon le style d’écriture qu’on veut réaliser, on fend le bec au milieu pour la régularité d’écoulement de l’encre, la qualité du roseau, ainsi que les dimensions sont choisies par le calligraphe, Le degré d’inclinaison du calame varie selon la forme écrite, Thuluth, Naskh, Diwâni, Farsi..Etc.
Pour la taille du calame, on utilise un couteau à la lame fine et très affutée, on se sert aussi d’une petite tablette en ivoire ou en os (Maqtâ), pour couper le bec.
L’encre:
Les calligraphes préparaient eux même leurs encres, elle était le plus souvent noire, composée principalement de noir de fumée et de gomme arabique dissoute dans l’eau.
Une autre recette était largement utilisée, il s’agit d’une encre métallo-gallique a base de noix de galle et de sulfate de fer.
D’autres recettes à base de pigments naturels, de poils de chèvres ou de moutons, de brou de noix, étaient utilisées également par les calligraphes.
Les calligraphes mettaient au fond de leur encrier une « Liqua » c’est une étoffe en soie naturelle dont le rôle essentiel est de ne prendre que la quantité nécessaire d’encre, et de protéger le bec du calame d’éventuels chocs lorsqu’on le trempe dans l’encrier.
Les calligraphes préparaient eux même leurs encres, elle était le plus souvent noire, composée principalement de noir de fumée et de gomme arabique dissoute dans l’eau.
Une autre recette était largement utilisée, il s’agit d’une encre métallo-gallique a base de noix de galle et de sulfate de fer.
D’autres recettes à base de pigments naturels, de poils de chèvres ou de moutons, de brou de noix, étaient utilisées également par les calligraphes.
Les calligraphes mettaient au fond de leur encrier une « Liqua » c’est une étoffe en soie naturelle dont le rôle essentiel est de ne prendre que la quantité nécessaire d’encre, et de protéger le bec du calame d’éventuels chocs lorsqu’on le trempe dans l’encrier.
Ensuite nous avons utilisé un ptit batonnet que l'on trempait d'un côté dans une couleur et l'autre côté, dans une autre couleur
Quand on sait dessiner, ça fait de beaux dessins
Le jour où je saurai écrire aussi bien avec un Calame, je serai douée.
On a passé un bon moment